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Motordu 

Motordu…
L’école du rire, de PEF. Mise en scène : Bruno Denecker.


Le Prince de Motordu et sa princesse Dézécolle sont réveillés en pleine nuit par des bruits étranges venant des murs. Armé de son seul courage, le Prince fait le tour du château pour trouver l’origine de ce vacarme. Il tombe nez à nez avec son le fantôme de son aïeul. Aux côtés de sa femme, la Princesse Dézécolle, qui est institutrice dans une école publique, gratuite et obligatoire, le Prince de Motordu mène la belle vie dans son chapeau. D’autant que son épouse le soigne de ces mots tordus. Et, il ne s'ennuie jamais l'hiver, il fait des batailles de poules de neiges, le soir il joue aux tartes et quand il fait beau, il vogue sur son râteau à voiles. Un soir, tous deux sont réveillés par des poux dans le mur. Pour rassurer sa belle, le Prince inspecte son chapeau de fond en comble. Là, dans le grenier, il se retrouve en face du spectre de son ancêtre, le chevalier de la Motte-Ordure. Le personnage du Prince de Motordu est récurrent dans les publications de Pierre Elie Ferrier, dit PEF. Attachant aussi. Et comme l’ensemble des héros du dessinateur, le Prince est un personnage fantasque et haut en couleurs. Dans sa mise en scène, Bruno Denecker applique ce principe à la lettre. C’est le cas de le dire. Avec des chants, des jeux de mots, et beaucoup de fantaisie visuelle, le spectacle se veut d’abord à la portée des plus jeunes. Mais les adultes retombent volontiers en enfance. Le décor et les costumes sont bariolés, fouillés, les musiques entraînantes. Ajoutez à cela l’énergie débordante des comédiens et leur contagieuse bonne humeur et vous obtenez une décoction tordante et didactique, aux effets euphorisants prolongés. R.V.


Pariscope
31 octobre 2007, au théâtre Rive Gauche
Une belle lisse poire
Les aventures du prince de Motordu en spectacle, quelle idée ! Eh bien oui, les textes de Pef, mis en scène par Bruno Denecker, ça le fait ! Mais attention, il est recommandé de parler le même langage… Et ça les enfants le savent bien. Explications : Le prince de Motordu et la pricesse Dézécolle sont réveillés à l’audition de poux dans le mur. Qu’à cela ne tienne, après avoir enfilé sa rose de chambre, le prince empoigne un chaton et part à la recherche du rôdeur du chapeau. Mais quelle surprise quand il découvre que ce n’est pas autre qu’un ancêtre venu hanter la demeure… Suit une série de situations cocasses à pourrir dde rire servi par de bons comédiens. A voir aux urgences !
Caroline Munsch


THE PLACE TO BE 19 décembre 2007, au théâtre Rive Gauche
Spectacle pour enfants : Motordu adapté pour le théâtre par Bruno Denecker
Le Prince de Motordu est un personnage de fiction de la littérature enfantine Française inventé par PEF en 1980. L’auteur illustre ses propres romans. Aujourd’hui, deux des nombreuses aventures de ce personnage attachant sont adaptées au théâtre. Une nuit, le Prince de Motordu est sa Princesse Dézécolle sont réveillés. Blottis sous leur chouette, ils sont pétrifiés à l’audition de poux dans le mur. Le Prince se lève tout de blême et enfile sa rose de chambre. Muni de son chaton, il part dans les couloirs du chapeau où il rencontre dans le grenier un fantôme, qui n’est autre que son ancêtre descendant du grand arbre génialogique, le Chevalier de la Motte Ordure, mort empoissoné… Le Prince, la Princesse et leurs deux enfants, Nid de Koala et Marie- Parlotte sont très heureux d’avoir dans le chapeau, un ancêtre aussi important. Malheureusement, le Prince a pâle au ventre, c’est lapin dix huîtres et on doit l’emmener sur un lit à poulette…
Neuf personnages pour trois comédiens.
Les oeuvres ont reçu l’autorisation de diffusion dans les écoles par les extincteurs de l’Éducation Nationale et les groseillers pédagogiques. Ce que la rédaction en a pensé Les histoires du Prince de Motordu est un souvenir d’enfance. Elles représentent la Madeleine de Proust de toute de la génération précédant celle d’Harry Potter. Le trentenaire est à la fois heureux d’aller voir l’adaptation théâtrale. Mais, il a peur aussi : est-ce que ce sera aussi bien que dans sa mémoire ? Sera-t-il déçu ? Eh, bien ! Non !!! Le public adulte – fan ou pas de l’oeuvre de PEF – est heureux de retrouver son héros aussi adorable qu’inattendu. Cela dit, le spectacle est destiné aux plus jeunes d’entre nous. Les petits bouts ont l’air de bien s’amuser tout au long de la représentation : ils participent allégrement à ce qui se déroule sous leurs yeux et corrigent les mots tordus des protagonistes qui réagissent formidablement à ce qui se passe dans la salle. L’adaptation est remarquablement mise en scène car Bruno Denecker ne dénature pas l’oeuvre originelle mais la complète. On peut juste lui reprocher une transition un peu étrange entre les deux aventures qu’il adapte. À titre informatif, il n’est pas nécessaire d’avoir lu les romans avant de découvrir le spectacle. Les costumes et les décors sont tout à fait représentatifs – et donc respectent – l’univers déglingué du Prince et de sa Princesse. Les trois comédiens débordent d’énergie et croient fermement à leurs personnages loufoques. Ce n’est que du bonheur !



l@muse21 novembre 2007, au théâtre Rive Gauche
A voir sans hésiter, si vos enfants lisent ou ont lu ce best seller ! Dans la salle, le public est concentré, pour suivre les péripéties du prince de Motordu et de la princesse Dézécolle. Dès les premiers dialogues, on entend les parents chuchoter la traduction à l’intention de leur progéniture. Leur tâche est facilitée, car le texte, en version intégrale, s’appuie sur de multiples clins d’oeil visuels. Exemple : le prince et la princesse sont dans leur lit, blottis sous leur « chouette », c'est-à-dire un grand drap sur lequel est appliqué un motif avec une magnifique chouette. Sur Scène, la gestuelle et les mimiques sont accentués, voir forcés, les accessoires démesurés, aux couleurs flash. On est indéniablement dans le domaine du burlesque, avec des gags destinés aux enfants comme aux parents !

3 décembre 2007, au théâtre Rive Gauche
Avis aux fans inconditionnels des formules alambiquées ou de jeux de mots rigolos, comme à ceux dont les dessins de Pef ont bercé l'enfance : 'La Belle Lisse Poire du prince de Motordu' est désormais visible en vrai ! Brûlant les planches d'un décor fouillé et d'un jeu coloré, le "Théâtre de la Sortie de secours" bidouille un spectacle de qualité qui réjouit les plus jeunes, les moyens et les aînés. Et pourtant ce n'était pas gagné de transposer l'histoire sur scène, tant la multitude des bizarreries de l'auteur sont graphiques ou orthographique. Entre un jeu de bouffon et des dizaines de trouvailles scénographiques farfelues, trois acteurs abordent la vie de "chapeau" en tambours et trompettes. Endossant tour à tour les neuf personnages des aventures de Pef, ils passent aisément du dialogue au récit, ne laissant rien au hasard ; ni les mots, ni les dessins croqués par l'auteur.
Dans cette mise en scène fraîche et joyeuse, Bruno Denecker a su saisir les drôleries et les anachronismes de Motordu, soulignant ce constant aller-retour entre le monde des princesses et celui d'aujourd'hui. En explorant le langage de l'auteur, nos trois compères font passer un sale quart d'heure à tous les codes de la représentation comme à ceux de la communication. Jouant à merveille du break-dance ou de la marionnette, ils cherchent désespérément "lapin dix huîtres" qui fait "pâle au ventre" et le fantôme qui donne "des poux dans le mur". Avec une telle verve que cette oeuvre a reçu "l’autorisation de diffusion dans les écoles par les extincteurs de l’Education nationale et les groseillers pédagogiques". C'est vous dire s'il est recommandé d'y aller !
Elsa Mingot

16 septembre 2008, au théâtre Rive Gauche
Qui ne connaît pas les drôles de mots tordus imaginés par l’auteur et dessinateur Pef voilà déjà 28 ans ? Son héros, le prince de Motordu, déforme tous les mots : il a pâle au ventre, peut-être souffre t’il de lapin dix huîtres ? Il vit dans un beau chapeau avec sa femme la princesse Dézécolle et ses enfants, Nid de Koala et Marie Parlotte. Leurs aventures sont jouées et mises en cène par trois comédiens, qui assurent neuf personnages dans un spectacles vraiment tout public. F.R.


« Motordu » 24 septembre 2008, au théâtre Rive Gauche
Au pays du prince de Motordu, règnent les jeux de mots. Rébus, charades, devinettes fusent et se diffusent ans la bouche de personnages à la langue bien pendue. Bruno Denecker met en scène ce régal verbal, ce délire du dire, cette gymnastique du dyslexique. Barré et ludique.


1er octobre 2008, au théâtre Rive Gauche
Voici une adaptation amusante de deux textes d’un auteur jeunesse prolifique, Pef : « Motordu et le fantôme du chapeau » et « Motordu a pâIe au ventre ».
Très colorés, les costumes et les décors créent un univers de bande déssinée. Une manière facile de séduire les petits et de les entraîner dans les péripéties loufoques des « Motordu ». Cette famille s’exprime dans la langue de Pef, faite de mots déformés et qu’il a développée au contact des enfants, lors de leur apprentissage du langage. Mais les dialogues des personnages ne sont pas toujours faciles à comprendre tant les jeux de mots sont nombreux.


Pariscope
8 octobre 2008, au théâtre Rive Gauche
Les aventures du prince de Motordu ne lassent pas ! Voilà deux années consécutives que la pièce cartonne. . C’est au Rive Gauche qu’elle se produit actuellement. Un spectacle haut en couleurs, avec une distribution de choix car, comme vous le savez, il faut une sacrée diction pour jouer les textes de Pef. Nous nous retrouvons donc dans le chapeau du prince de Motordu avec la princesse Dézécolle où il se passe des drôles de choses… Des poux dans le mur, le fantôme du chapeau de la Motte Ordure, et pour finir notre prince atteint de lapin dix huîtres ! Que d’histoires ! Un très beau spectacle à pourrir de rire. C.M.



23 octobre 2008

Jeux de mots à s’en tordre de rire
Cette fois le succès était au rendez-vous : mardi soir à l’espace Mac-Orlan, près de deux cents personnes ont assisté à la pièce de théâtre inspirée du personnage de Pef, Motordu. L’histoire truffée de jeux de mots se déroule dans le château du prince de Motordu et de la princesse Dézécolle. Ils sont réveillés par des bruits. Le prince découvre le fantôme d’un de ses illustres ancêtres, le chevallier de la Motte Ordure… Mille aventures inouïes attendent alors le couple.
La compagnie Sortie de secours théâtre avait tous les atouts en main : jeu burlesque et très corporel, univers proche e la bande déssinée, costumes ingénieux, personnages époustouflants…


Pariscope9 avril 2008, au théâtre Michel Galabru
Folle nuit,
Une nuit le prince de Motordu et la princesse Dézécolle sont éveillés par un brouhaha affolant. Mais que se passe t’il dans le chapeau ? Après avoir enfilé sa rose de chambre, le prince part à la recherche de l’intrus responsable de cette cacophonie. Quelle surprise, c’est un fantôme égaré§ Pas n’importe quel fantôme, en consultant l’arbre généalogique, celui-ci a sa place auprès de son poussin germain, de Marie en Toilette, de l’oie de France qui un jour épousseta une princesse… Que du beau monde! Une nuit remplie de péripéties s’annonce. Cette pièce est tout simplement géniale, les textes de Pef sont fidèlement repris et la prestation des comédiens fait l


28 juin 2008, au théâtre Rive Gauche
En famille, Jeux de mots tordus
Quoi de plus délicieux que de jouer sans limite avec le langage à la manière des enfants ! Embarquez pour un magnifique voyage dans le chapeau du prince de Motordu et de la princesse Dézécolle. Cachés sous leur chouette, le prince et la princesse sont pétrifiés à l’audition des poux dans le mur. Le prince se lève pour voir se qui se passe dans les couloirs du chapeau et le voilà parti pour une aventure inouïe, prétexte à des rencontres insolites. S’appuyant sur l’univers délirant de l’ auteur Pef, trois comédiens pleins d’entrain donnent vie à neuf personnages époustouflants. Avec des références à la BD, une kyrielle de mots tordus jonglant avec des modes e jeux différents, ce spectacle est à consommer sans modération aujourd’hui pour sa dernière représentation.
Olivia Peresson.


24 avril 2009, au théâtre Rive Gauche
Le prince de Motordu ** de Pef. Mise en scène de Bruno Denecker.
Avec Bruno Denecker, Viviane Fougereux, David Weiss. Dès 6 ans.


C'est une belle lisse poire, pour petites billes et petits glaçons : un prince et son épouse ont la satanée manie de tordre les mots, manie héritée
de l'enfance, qui donne naissance à un langage déglingué. Pas simple de transposer I'univers de Pef à la scène. La compagnie Sortie de secours le fait bien. Trois comédiens pour neuf personnages, un univers cartoonesque à souhait, un décor aux couleurs pétaradantes fourmillant d'accessoires. On embarque avec le prince de Motordu, Ia princesse Dézécolle et leurs rejetons, Marie Parlotte et Nid de Koalas, pour deux aventures, « Motordu et le fantôme du chapeau « et « Motordu a pâIe au
ventre » . La seconde, nettement plus rythmée, joue mieux la carte burlesque, notamment dans une scène d'opération de « Lapin dix huîtres » absolument tordante.
N. V. E.



27 avril 2009, au théâtre Rive Gauche
Jeune public « MOTORDU » POUR PETITS GLACONS ET PETITES BILLES
Dans un chapeau vivent le prince de Motordu, la princesse Dézécolle et leurs deux enfants : un « glaçon », prénommé Nid de Koala, et « une bille », Marie Parlotte. Après avoir découvert un fantôme descendant de l’arbre « génialogique », le roi tombe « salade » à cause d’une crise « de lapin dix huîtres ». Ouf ! il est « mort » de danger. Bienvenue dans le monde farfelu de Pef, auteur de la belle lisse poire du prince de Motordu ! Le grand classique de la littérature enfantine est désormais visible au théâtre. Les plus jeunes adorent et les adultes tentent de suivre…

Motordu à l’Albatros, Avignon off 2009
"Tu as vu il y a plus de grandes personnes que d’enfants" s’est inquiétée Marie, 8 ans, en attendant le début de la représentation de "Motordu". Mais dès l’apparition sur scène de David Weiss, Marie a su qu’elle avait fait le bon choix dans la "jungle" du Off. Dans une mise en scène efficace, qu’il a lui même signé, Bruno Denecker, le prince de Motordu et Viviane Fougereux, la princesse Dézécolle, s’en donnent à coeur joie en jonglant avec les mots qu’ils tordent pour mieux éclater de rire. Les enfants qui ont baigné dans l’univers magique de Pef retrouvent avec plaisir cet univers merveilleux. Et les "grands" ne manquent pas eux aussi de s’amuser dans ce spectacle où la seule note dissonante sera la scène d’opération de "lapin dix huîtres" qui traîne un peu en longueur. Mais le message passe. Pour preuve, s’il en fallait une, à la sortie Marie ne peut s’empêcher de dire qu’il faut penser "à acheter une blaguette de pain bien fuite pour le repas… sage !
Bruno Hurault



10 février 2010, au Funambule Théâtre
Spectacle Motordu sur les planches
C’est la nuit au « chapeau » de Motordu. Bien au chaud sous la « chouette », le prince et son épouse, la princesse Dézécolle entendent soudain des « poux » dans le mur. Muni de sa lampe « à pet drôle », monsieur monte au grenier, tout tremblant, et y découvre un fantôme affamé… Ainsi débute « Motordu », le spectacle mis en scène par Bruno Denecker d’après deux albums de Pef, « Motordu et le fantôme du chapeau et Motordu a pâle au ventre ». Créée a Paris fin 2007, la pièce vient de se poser au Funambule Montmartre avec ses beaux costumes colorés et sa collection de eux de mots savoureux. Dans la salle, les plus e 6 ans assurent la traduction simultanée, trop contents de montrer qu’ils ont compris les astuces, tandis que les plus petits rient davantage des gags visuels. Leur joie, lorsque le héros se fait opérer de « lapin dix huîtres » à grands coups de tronçonneuse, fait plaisir à voir.
Marie Sauvion


10 février 2010, au Funambule Théâtre
Les bons plans de 20 minutes
Il a bercé nos couchers avec ses lisses poires et ses inventions rigilotes. Le prince de Motordu, qui a quelque mal avec la langue française, revient mais en chair et en os. Bruno Denecker a choisi deux des ouvrages de Pef, Motordu et le fantôme du chapeau et Motordu a pâle au ventre et les a adaptés pour la scène en 2007. L’humour et l’inventivité, digne des meilleurs lapsus enfantins, sont toujours de mise dans ce spectacle. Pour petites billes et petits glaçons !


Au royaume de Motordu, on joue avec le mystère des mots, leur transformation à la lettre près, leur sens caché. Cela fait beaucoup rire, et pas que les enfants. A travers cette drôlerie, les enfants découvrent la beauté de la langue d’autant qu’elle s’accompagne de mimiques et de grimaces irrésistibles. Haut en couleur, plein de poésie et d’humour, les mots et le burlesque servent aussi à désamorcer des peurs d’enfant ancestrales, celle du fantôme, de la piqûre et de l’opération. Les comédiens respectent au mot près les textes de Pef, l’auteur des aventures du prince de Motordu, un texte étudié parfois à l’école, car pour les enfants c’est tellement plus séduisant qu’un manuel de vocabulaire.
Anne Marie Blanchet, le 13h TF1, l0 mars 2010 au Funambule Théâtre


....Voilà 30 ans que Pef ravit les oreilles des enfants avec ces mots tordus. Un univers surréaliste où un Prince, de Motordu, vit dans un chapeau, et porte sur sa tête un château. Sa royale épouse est la princesse Dézécolle, une instit qui adore aussi tordre les mots. Le metteur en scène Bruno Denecker s'est emparé de l'univers fantaisiste de Pef pour une pièce colorée, où trois comédiens interprètent les personnages de deux albums de l'auteur-illustrateur Motordu et le fantôme du chapeau et Motordu a pâle au ventre (Gallimard, 1999). Les personnages sont clownesques et pétillants, et le metteur en scène a repris à la lettre les textes originaux. Costumes et objets sont eux aussi victimes du sortilège de Motordu : la couette à une tête de chouette, la chemise de nuit de la princesse est une chemise de fruits, et bien sûr le chapeau du prince est un petit château rose. Les jeunes lecteurs de Motordu s'amusent à retourner les mots, les autres auront sans doute plus de mal à tout comprendre (les adultes aussi parfois !) tant les jeux de mots fusent. Une nuit, la princesse est réveillée par des poux dans le mur ! Les royales époux et leurs rejetons, Nid de Koala et Marie-Parlotte, figurés par deux petites marionnettes, font alors connaissance avec le fantôme de la Motte-Ordure, un ancêtre mort empoissonné... Plus tard, Motordu qui a pâle au ventre sera envoyé à l'hôpital pour un lapin dix huîtres (une appendicite, vous aviez compris ?). Et là, c'est à une scène totalement loufoque auquel nous convie le metteur en scène. Motordu, allongé derrière un rideau, un professeur foldingue opère notre héros excentrique, à coups de scie, de tronçonneuse,
de seringue géante... pour en retirer des objets improbables. Dans la salle, on entend des "bahhh" horrifiés et des rires étonnés. Un univers proche de la BD, des trouvailles scénographiques abracadabrantes, des comédiens bourrés d'énergie... Un Motordu comme on l'imagine !
Créé en 2007, ce spectacle sera à l'affiche du théâtre des Nouveautés à Paris à partir de septembre 2010, pour les 30 ans de Motordu. Dès 6 ans.
C.B.



Le coin des enfants, « MOTORDU »
C’est l’histoire d’un prince, celui des motordus, d’une princesse et de leurs enfants. Ils vivent dans un château où ils vont connaître des aventures rocambolesques. D’abord ils entendent des « poux dans les murs ». Le château est hanté par un fantôme plutôt sympathique. Alors ils remontent « leur grand arbre génialogique » mais le prince soudain a très « pâle au ventre c’est lapin dix huîtres ». Une histoire où effectivement des mots en remplacent d’autres et il faut les trouver. La salle, avec un jeune public, s’en trouve toute effervescente car les parents présents expliquent les jeux de mots aux plus jeunes. En plus des motordus du prince, la princesse Dézécolle, quand à elle, mime ou applique les expressions de son époux. Un vrai régal pour tenter de remettre les mots à leur place et leur donner leur vrai sens. Mais cela n’a vraiment pas d’importance pour les enfants et c’est à coup d’éclats de rire que le public ponctue le spectacle, bien rythmé où l’on ne s’ennuie jamais.


Flanepourvous.blogspot.com
Le 25 juillet 2010
Pef a fêté ns de son héros, le Prince de Motordu ce mercredi 3 novembre 2010, lors de la représentatiion donnée dans le superbe théâtre des Nouveautés ? Cette pièce mise en scène par Bruno Denecker, est une adaptation de deux ouvrages de Pef. C’est un régal de mots tordus, d’humourn de jeu burlesque. Un gros, très gros coup de coeur pour Pef qui en ce jour un peu spécial, nous a fait l’honneur de monter sur scène et de nous raconter comment est né ce personnage ? Juste le temps de souffler les bougies de son gâteau qu’il file plus vite que l’éclair dédicacer ses livres pendant qu’une collation de chamallows et de jus de fruits nous attendait.Cette pièce, qui a reçu la bénédiction des extincteurs de l’ éducation nationale et des groseilliers pédagogiques, est un magnifique voyage dans le chapeau du prince de Motordu et de la princesse Dézécolle, où mille aventures inouïes vous attendent. Tordant le cou aux mots dits aux maux de l’imagination, ce Motordu-là est à la portée de toute la famille et la fera pourrir de rire !

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pique nique

JOURNAL SUD OUEST Août 2004

FESTIVAL INTERNATIONAL DU MIME A PERIGUEUX - MIMOS

Le festival descend dans les quartiers.
Mimos est un festival pour tous. La compagnie Sortie de secours théâtre a joué un spectacle burlesque pour les riverains du Gour de l’Arche, invités ensuite à un pique-nique…

Mardi soir, le festival prenait ses quartiers d’été avec une représentation de « Pique-nique ».
Un spectacle burlesque suivi d’un dîner sur l’herbe avec les riverains.

La vie en vert au Gour-de-l’Arche
Le lieu se prête idéalement à la thématique de la soirée. A proximité des tours du quartier du Gour-de-l’Arche, un vaste espace arboré situé aux abords de l’hippodrome se remplit d’un public nonchalant, qui prend rapidement son parti de s’installer à même le gazon, les pieds souvent nus. C’est entre la rivière Beauronne et six grands peupliers que la compagnie « Sortie de secours théâtre » a judicieusement installé sa « scène », un plateau jonché d’objets de récupération et parsemé de graffiti criards. Aux avant-postes, un très jeune public, premier intéressé par la manifestation, montre déjà les quelques signes d’impatience que les parents tentent à l’arrière de prévenir.

« je suis avant tout un manipulateur d’objets et ce qui était au début une improvisation a trouvé son message écologique »

Rosette et Georges apparaissent alors, sortes de pierrot lunaires de l’ère post-industrielle contraints d’évoluer au milieu de détritus dont ils se serviront de façon étonnante. L’hilarité gagne rapidement les adultes, cependant que les enfants réagissent à toutes les mimiques du couples infernal, bien aidé en cela par un fil conducteur musical, entre concerto pour piano et jazz, qui retranscrit habillement les états d’âme des personnages.

Leçon de vie. Et le message passe. Pourquoi tout jeter, si tout s’utilise ? s’interrogeront les adultes. Et les enfants de se réjouir d’une scène finale où les immondices sont recouvertes d’une toile figurant un gazon fleuri. Malgré tout, Bruno Denecker, concepteur du projet et interprète, n’a en aucun cas souhaité que la dimension morale prédomine sur le divertissement. « je suis avant tout un manipulateur d’objets, dit-il, et ce qui était au début une improvisation a trouvé son message écologique au fur et à mesure». A la tête de sa compagnie théâtrale depuis huit ans, ce parisien confie en outre avoir beaucoup travaillé avec des enfants défavorisés, et le lieu de représentation du jour ne le laisse pas indifférent.

NEWSPAPER “SUD OUEST” August 2004


INTERNATIONAL FESTIVAL OF THE MIME TO PERIGUEUX

MIMOS

The festival descends in quarters.
Mimos is a festival for all. The fire exit company theater has played a comical spectacle for the riverains (people) of the “Gour de l’Arche”, invited then to a picnic.

Evening Tuesday, the festival took its Summer quarters with a representation of " Pique-nique ".
A steady comical spectacle by a dinner on the herb with the riverains.

The life in green to the Gour de l'Arche
The place be loan ideally to the thematic of the evening. Near tours of the quarter of the Gour de l'Arche, a vast spaces raised situated to surroundings of the racetrack fills a nonchalant public, that takes rapidly its party to install to even the lawn, often naked feet. It is between the river “Beauronne” and six great poplars that the company " theater fire exit " has judiciously installed its " scene ", a strewn tray of objects of recovery and strewn graffitis. To outposts, a very young public, first concerned by the manifestation, watch already some sign impatience that relatives tempt to defers it to warn.

" I am before all an operator of objects and what was in the beginning an improvisation has found its ecological message "

Rosette and Georges appear then, sorts of pierrot lunar of the era post - manufacturer oblige to evolve in the middle rubbish of which they use as manner stunned. The hilarity earns rapidly adults, however that children react to all mimicries of the infernal couples, well helped in that by a thread musical driver, between concerto for piano and jazz, that retranscribes clothing states of celebrity soul.

Lesson of life. And the message passes. Why all to throw, if all uses ? will wonder adults. And children to rejoice a final scene where refuses are covered a cloth figuring a lawn flowered. Even so, Bruno Denecker, inventor of the project and interpreter, has in no wished case that the moral dimension predominates on the entertainment. " I am before all an operator of objects, tells - it, and what was in the beginning an improvisation has found its ecological message in the little by little". Has the head of its theatrical company since eight years, this Parisian confides in addition to have a lot worked with disfavored children, and the place of representation of the day does not leave it indifferent.

Août 2004 - Delphine Le Normand

MIMOS 2004

Pique-nique au Gour de l’Arche
Comment lier le burlesque à l’écologie ? La compagnie sortie de secours théâtre », elle, a trouvé la solution et en a fait la démonstration au Gour de l’Arche hier soir, devant une assistance fournie. Après leur spectacle sans parole où ils ont appelé le public à voir la vie en vert, ceux qui le désiraient sont restés pique-niquer. Histoire de prolonger un peu un moment de civisme.

Georges, attifé d’un masque un peu grossier et la démarche déséquilibrée, a prévu d’aller pêcher. Mais, l’eau polluée lui donne beaucoup de fil à retordre. Là, il rencontre Rosette, venue pour pique-niquer et qui ne trouve pas un seul endroit pour se poser, tellement le sol est jonché de détritus. Ensemble, ils décident de nettoyer l’endroit. Voilà, c’est parti pour quasiment une heure d’une belle leçon de vie. Les deux acolytes font prendre conscience que l’homme détruit beaucoup en jetant ses déchets n’importe où. Plutôt destiné au jeune public, il s’agissait d’éduquer la nouvelle génération aux petits gestes verts qui peuvent faire beaucoup pour sauvegarder dame nature.
Spectacle sans parole, festival Mimos oblige, les bruitages qui accompagnent les deux personnages sont tellement bien millimétrés qu’ils font le reste. Une fois, la « décharge » parfaitement nettoyée, cette dernière laisse place à une magnifique prairie verte, couverte de fleurs multicolores.

Environnement et divertissement
Les enfants applaudissent, ravis que la nature ait repris ses droits. Jusqu’à ce qu’un dernier sac vienne s’échouer sur la belle prairie. Une façon de dire que rien n’ai jamais gagné mais qu’il faut toujours rester mobilisé. Du côté des artistes, Bruno Denecker et Florence Foux, on ne parle pas de leçon de morale. « Nous mettons le doigt sur un problème : l’environnement ; mais cela reste un divertissement. »

NEWSPAPER “LA DORDOGNE LIBRE” August 2004 - Delphine Le Norman

MIMOS 2004

Picnic to the “Gour de l’Arche”
How to link the comical to the ecology ? The fire exit company theater ", it, has found the solution and has made some the demonstration to the “Gour de l’Arche” yesterday evening, ahead an assistance provided. After their spectacle without word where they have called the public to see the life in green, these that desired it have remained to picnic. History to prolong a bit a moment of public-spiritedness.

Georges, with of a mask a coarse bit and the step unbalanced, has anticipated to be going to fish. But, the polluted water gives it a lot thread to retordre (complication). There, it meets Rosette, arrival to picnic and that does not find an alone place to pose, so much the ground is strewn rubbish. Totality, they decide to clean the place. Here is, has left it for nearly a hour of a beautiful lesson of life. The two acolytes make take conscience that the man destroys a lot by throwing its wastes wherever. Rather destined for the young public, it concerned to educate the new generation to the small green gestures that can make a lot to safeguard nature lady.
Spectacle without word, festival Mimos obliges, the sound effects that accompany the two celebrities are so much well precise that they make the rest. Once, the " dump " perfectly cleaned, this last leaves place to a magnificent green prairie, covered of multicolored flowers.

Environment and entertainment
Children applaud, delight that the nature has resumed its rights. Until what a last bag comes to fail on the beautiful prairie. A manner to tell that nothing have ever earned but that it is necessary always to remain mobilized. The side of artists, Bruno Denecker and Florence Foux, one does not speak lesson of moral. " We put the finger on a problem : the environment ; but that remains an entertainment. "



Août 1997
Pique-nique burlesque et gags à gogo
Pendant une heure environ, les jeunes (mais les plus grands s’y sont aussi laissés prendre) ont plongé dans cet univers presque onirique où à cause d’un trognon de pomme, un pêcheur indifférent et une femme, venue simplement pique-niquer, se rencontrent, sont sujets au coup de foudre et se questionnent sur les moyens de sortie de cette poubelle.
Peut-être sont-ils descendants des mythiques Adam et Eve.
De là s’en suivent des situations burlesques et clownesques, avec gags à gogo, qui n’ont pas manqué de faire rire aux éclats les enfants. Qui sait même s’ils n’ont pas eux-mêmes participé, en quelque sorte, à la transformation de cette décharge en une magnifique prairie au sol jonché de marguerites ? Mais, tout comme dans l’histoire de Cendrillon, avec la fin du spectacle, la réalité finit par reprendre ses droits et, un sac poubelle en entraînant un autre, le joli coin de campagne redevient poubelle.
Voilà qui laisse méditer sur les efforts de Rosette et Georges, ces héros ordinaires.

NEWSPAPER “LA VOIX DU NORD” August 1997

Comical picnic and gags to gogo
Pique-nique succeeds in holding children’s attention for an hour. Their answer is the best judge of the show. And the parents are often laughing just as uproariously as their offspring.

During a hour approximately, youths (but the greatest there have also left to take) have dived in this universe almost dream where because of a core of apple, an indifferent fisherman and a woman, arrival simply to picnic, meet, are liable to the knock of thunderbolt and question on means of exit of this garbage.
Perhaps are - they descendants the mythical Adam and Eve.
From there follow some by comical situations and clown, with gags to gogo, that have not lacked to make laughter to flashes the children.
Who knows even if they have not themselves participated, themselves leaves, to the transformation of this dump in a magnificent prairie to the strewn daisy ground?
But, just as in the history of Cinderella, with the end of the spectacle, the reality finishes by resuming its rights and, a garbage bag by entailing an other, the pretty corner of countryside becomes garbage.
Here is that leaves to meditate on efforts of Rosette and Georges, these ordinary hero.

 

Avril 1998 - Florence Deguen
Pique-nique dans une décharge
Un paysage lunaire, baignant dans une lumière bleutée. Cà et là gisent des sacs éventrés, des bouteilles de plastiques écrasées, un vélo désossé… des bulles suspectes s’échappent d’un vieux tuyau, une paires d’yeux brille dans le noir sous un infâme amas, tandis qu’au milieu de tout ça un ruisseau se fraye timidement son chemin. mais bientôt les coassements de grenouille et le bruit cristallin de l’eau sont couvert par le vrombissement d’un moteur. Un crissement de pneus, un une portière qui s’ouvre et hop, un gros sac poubelle atterrit. Un autre coup de frein, un autre sac, et les petits spectateurs sont obligés d’en convenir : on est au milieu d’une décharge…
C’est dans ce décor champêtre que débarquent au matin Rosette et Georges. Elle, panier de pique-nique sous le bras. Lui, sa canne à pêche sur l’épaule. Et les voilà partis pour trois quarts d’heure de gags visuels et burlesques où comique de répétition et numéros archi-prévisibles côtoient merveilleusement surprises et rebondissements. De la classique basket pourrie au bout de l’hameçon à la roue de vélo qui égrène un air d’orgue de Barbarie quand on la tourne, obligeant Georges à lâcher sa cavalière toutes les deux secondes pour relancer le pédalier… les enfants adorent. Quand Georges balancera finalement son trognon de pomme dans la décharge au terme du pique-nique, Rosette lui passera un sacré savon. Et c’est ainsi qu’ils termineront la journée à nettoyer gaiement la décharge, jusqu’au prochain crissement de pneus…

Deux personnages qui sont tout un poème
Cousins masqués de Buster Keaton ou de Jacques Tati, les deux personnages de ces histoires sans paroles sont à eux seuls tout un poème. Derrière leurs gros masques attachants et expressifs, leurs borborygmes, leurs soupirs, leurs haussement d’épaule en disent bien plus long que n’importe quel dialogue. Mais le coup de chapeau enthousiaste vaut aussi et surtout pour la mise ne scène et la scénographie. Les astuces du décor sont redoutablement efficaces et inventives, surprenant à tout moment des enfants ravis.

NEWSPAPER “LE PARISIEN” April 1998 - Florence Deguen

Picnic in a dump
A lunar landscape, bathing in a bluish light. That and there scattered lie disemboweled bags, crushed plastic bottles, an old bike… of suspicious bubbles escape an old pipe, a pairs of eyes shines in the black under an infamous heap, while in the middle of whole that a brook clears timidly its path. but soon croakings of frog and the crystalline noise of the water are covered by an engine. A grinding of tires, an a door that opens, a large garbage bag lands. An other knock of brake, an other bag, and the small spectators are obliged to suit some : one is in the middle a dump…
It is in this rustic scenery that disembark to the morning Rosette and Georges. She, basket of picnic under the arm. It, its cane to peach on the shoulder. And there they are leave for three-quarters of hour of comical and visual gags where comic of repetition and numbers very very foreseeable coast marvelously surprised and revivals. The classic shoe rotted at the end of the hook to the wheel of bike that shells an air of Barbarity organ when one turns it, neighborly Georges to drop its horseman all the two seconds to relaunch the pedal… children adore. When Georges will swing finally its apple core in the dump to the term of the picnic, Bow will pass it a holyed soap. And it is as well as they will end the day to clean gaily the dump, until the next grinding of wheel…

Two celebrities that are all a poem
Masked cousins of Buster Keaton or Jacques Tati, the two celebrities of these histories without words are to them alone whole a poem. Behind their large mask attachants (loved) and expressive, their borborygmes (silly games), their sighs, their shrug of shoulder tell some well more long than does not import what dialogue. But the enthusiastic hat knock costs also and especially for the placement not scene and the scenography. Tricks of the scenery are redoutablement (truly) efficient and inventive, surprising at any given time children delight.

Avril 1998 - Henriette Bichonnier
Des poubelles et des détritus jonchent un espace où l’on venait pique-niquer autrefois, au bord de l’eau. Une voix off explique comment on détruit un paysage en jetant n’importe quoi, n’importe où. Mais tout redevient très marrant avec l’apparition de deux personnages masqués qui démontrent qu’on peut arranger les choses avec un peu d’humour et beaucoup d’amour. On se croyait partis pour un discours écolo-moralisateur. On se retrouve dans une magnifique farce sans paroles, avec des objets qui s’animent, une roue de vélo qui joue de l’orgue de Barbarie. Et quantités d’inventions inattendues.
Quand on veut parler écologie, il faut savoir être drôle. C’est exactement le cas ici.

NEWSPAPER “TELERAMA” April 1998 - Henriette Bichonnier

Garbages and rubbish strew a space where one came to picnic formerly, to the edge of the water. A voice explains how one destroys a landscape by throwing anything, wherever. But whole becomes very funny with the two appearance masked celebrities that demonstrate that one can arrange things with a few humor and a lot love. One believed leave for a speech écologic -moralizing. One is found in a magnificent joke without words, with objects that animate, a wheel of bike that plays the organ of Barbarity. And quantities of unexpected inventions.
When one wants to speak ecology, it is necessary to know to be funny. It is exactly the case here.

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don Quichotte

En construction

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Télérama – TT Sans cirque fixe
On aime beaucoup
Du 05 octobre 2016 au 30 novembre 2016
Théâtre Clavel - Paris

Un homme, la tête pleine de rêves, possède un banc pour lit, un réverbère pour lampe, une poubelle comme malle aux trésors, un orgue de Barbarie pour chanter et une marionnette pour parler. Ancien clown d'un cirque volatilisé, la rue est devenue son univers. Il le peuple de ses souvenirs et de ses blagues, de son imaginaire et de sa musique… Ce solo clownesque crée des ponts entre le monde de l'enfance et celui de la rue. La blague enfantine succède à la poésie du vagabond, la joie d'un rien à la nostalgie de tout, la chanson populaire Sous les ponts de Paris à la comptine Y a une pie dans l’poirier… Bruno Denecker, auteur et interprète, campe un personnage « libre d'innocence » qui livre avec humour, force et fragilité ses instants de vie. Ce spectacle porte un regard sensible, sans misérabilisme, sur l'univers des sans-abris.
Françoise Sabatier-Morel. Paris, octobre 2016
Réalisateur/Metteur en Scène : Bruno Denecker
Interprète : Bruno Denecker

Billet réduc -Drôle et touchant 8/10
Spectacle très intéressant, amusant et vivant. Un fond nostalgique derrière le nez rouge. Mon fils de 4 ans a beaucoup aimé.
A vu cet évènement avec BilletReduc.com
Billet réduc -COUREZ-Y 8/10
Ce serait dommage de louper ça!! J'y suis allée avec mes filles de 4 et 10 ans. Elles ont toutes les 2 adoré. Il y a... poésie, humour, imagination et interaction avec le public. Loin des grosses productions parisiennes de spectacle pour enfants, vous découvrirez un spectacle intimiste, chaleureux et drôle.
A vu cet évènement avec BilletReduc.com
Billet réduc –SANS CIRQUE FIXE
Bruno Denecker a effectué un one-man show exceptionnel, avec une originalité et une émotion bouleversante. La construction de son spectacle allie tous les ingrédients de son professionnalisme, qu'il exerce depuis trente ans. Un tel spectacle mérite des salles pleines et de grandes salles. Au premier rang, nous avons eu le privilège avec ma petite fille de vivre son spectacle qui a jailli "sans filet", du plus profond de lui-même.
A vu cet évènement avec BilletReduc.com
Paris, novembre 2016

Sortir à Paris
Un joli spectacle humain qui mélange les genres, en passant du cirque au théâtre avec des petites touches musicales. Idéal pour des enfants en plein âge de raison.
Paris, octobre 2016


Christian Dumont programmateur du Théâtre d'Edgar

Paris, janvier 2004

« Un spectacle tout en douceur, où un clown SDF s'invente du matin au soir des histoires rigolotes, s'amuse d'un rien et de tout, et rêve en musique d'un cirque perdu et de paillettes envolées.

Bruno Denecker, comédien-auteur de ce spectacle exigeant à la mise en scène inventive, est absolument remarquable. Le jeune public oublie la télé et se laisse très vite emmener. »

 

l@muse

Février 2004

« Un clown sans domicile – ou cirque – fixe vous invite à le suivre dans ses souvenirs d’enfance et ses émotions d’une journée dans la rue. La rue, un monde peuplé de choses, d’impressions et de sons qui sont à chaque fois le point de départ d’un poème, d’une musique ou d’un conte. Un seul artiste sur scène, poète touchant, conteur et musicien doué qui capte l’attention des enfants en les faisant rire et chanter. »

Rives de scènesI

Extraits, Pierre Banos, Rives de Scènes, Mars 2002

« Une franche rigolade, un clown poétique, des bulles et des atchoums pas prévus. Du spectacle vivant quoi ! Qu’on ne saurait trop recommander. »

Festival off Avignon, juillet 2004 - Fabienne Caraty, Manon et Céline (11 et 7 ans)

« Un monsieur, dans la rue, comme un clochard dort sur un banc. Dans son chariot de magasin, plein de choses dedans. Il nous raconte des moments de sa vie, et jouant de l’accordéon et chantant des chansons. Il y a beaucoup de délicatesse dans ce spectacle truffé de comptines et de jeu de mots. Très écrit mais toujours servi par un clown émouvant qui captive les enfants jusqu’à la fin. Une sorte de suite de tableaux évoquant la vie d’un ex clown qui, s’il n’a plus l’emploi, a gardé l’esprit poétique et le goût de la liberté. Sobre et efficace. Réussi »

Le Dauphiné Libéré

Festival off Avignon, juillet 2004

De la poésie, du rire, des larmes, de la musique, du rêve… ce clown nous en fait voir de toutes les couleurs. Et que les enfants n’hésitent pas à commenter le spectacle à haute voix : ce comédien au nez rouge aura toujours de la répartie ! De plus, la salle, petite, et le décor, trois fois rie, incitent de façon presque magique à devenir complice de ce personnage aux multiples facettes.

En filigrane de cette représentation, c’est aussi à une vision différente des gens de la rue qu’invite le clown. En effet lui-même, dans le spectacle, n’a d’autre lit qu’un simple banc, au pied d’un lampadaire. Mais il s’en contente tout à fait, puisqu’ainsi le voilà « libre de penser, libre de bouger, libre de vivre… to-ta-le-ment libre, en somme ? »

Lundi 16 février 2004 - Théâtre d’Edgar

Le comédien Bruno Denecker aborde le thème difficile des vagabonds à l’aide d’histoires drôles et de tout un attirail sorti de son chariot. Son personnage attachant entraîne les enfants dans le monde des gens de la rue.

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Cinoche

Henriette Bichonnier -Télérama du 9 mai 2001
Deux acteurs humoristiques créent un univers de folle gaîté sur une musique de Jean Wiener pour évoquer le cinéma muet. Apparaissant en ombres agitées (comme charlot) derrière un grand écran, les voici soudain en chair et en os, guignolesques, maladroits, sublimes, devant cet écran où l’on verra leurs scènes projetées par la suite. En attendant, ils sont au four et au moulin, devant et derrière la caméra, aux accessoires et sur le plateau. Ils s’empoignent en chantant, changent de costumes à la vitesse de l’éclair, citent les frères Lumière, Gaumont et Pathé, pour terminer sur le premier festival de Cannes en 1946 où on les aperçoit parmi les artistes. Des gags raffinés, des prouesses techniques étonnantes, un formidable moment de grâce.

Mme Vathaire - CITYVOX du 30 avril 2001

« le cinéma c’est magique ! »
Une saga burlesque et visuelle où les enfants découvrent peu à peu la vie d’un tournage. Une pièce très réussie de la Cie Sortie de secours qui se produit jusqu’au 30 mai à l’Espace Jemmapes.

La scène se passe en 1920, quelque part dans un hangar désaffecté. Sur scène, Augustin et Marguerite, deux acteurs qui rêvent de cinéma… tographe. Lui est ambitieux. Elle rêve de gloire. Ensemble, ils vont conter la saga d’un tournage au temps du muet. « Silence, on tourne ! ». Une phrase que répète souvent Augustin, laissant peu de temps à Marguerite d’installer le matériel « hautement technique », d’enclencher la bobine et d’enfiler son costume. Dans la peau de leurs personnages, nos deux comédiens deviennent alors « Mademoiselle Charlotte de la Robinette et Monsieur Rosière », deux pionniers du cinématographe qui n’ont pas les mêmes points de vue sur la question le font savoir. Les deux artistes se lancent alors dans une comédie burlesque construite de bric et de broc et de gags visuels pour faire revivre l’atmosphère du cinéma muet. Un spectacle de la Compagnie Sortie de secours Théâtre. Mis en scène et joué par Bruno Denecker avec Ana Bara – qui mêle des séquences filmées projetées sur un écran et des chansons pour raconter leur passion. « Le cinématographe, c’est magique » chante Augustin, « le cinématographe c’est tragique » lui répond Marguerite. Au final, les esprits et les cœurs se rapprochent pour la joie des petits et des plus grands qui auront relevé les nombreuses références au cinéma contemporain.

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2006, © Sortie de secours théâtre - Jean-Loup Fierfort